J'espère que ma citation se contredira d'elle même.
Want to rebirth.
I'll. Come. Again.
Just a Hope.
Dans les ombres, dans la pluie, alors que mon âme se meurt sans toi, une flamme se rallume. Faible braise... Protège là, ou laisse la mourir.
HighwaytoHell
HighwaytoHell
Mardi 17 avril 2012 à 18:31
Dimanche 15 avril 2012 à 5:58
Je sens que le 14 juillet, je vais fêter la fête nationale, tiens.
Samedi 14 avril 2012 à 11:13
Comme envie de tourner le gaz, comme envie de me faire sauter les plombs...
C'est pas comme si je dépendais uniquement d'elle.
Pas comme si je lui appartenais totalement.
Pas comme si elle avait le droit de vie et surtout de mort sur moi.
Pas comme si moi j'n'était plus rien.
La vie est une blague, isn't it?
C'est pas comme si je dépendais uniquement d'elle.
Pas comme si je lui appartenais totalement.
Pas comme si elle avait le droit de vie et surtout de mort sur moi.
Pas comme si moi j'n'était plus rien.
La vie est une blague, isn't it?
Mercredi 11 avril 2012 à 23:08
Estelle me manque. Sans elle, mon âme se meurt, comme les fils du pélican de Musset. Le corbeau sourit, mon âme également ne s’élèvera plus. Je peux rester dans les ténèbres, now. Orphée continue de chanter après sa mort, continuerais je de souffrir après la mienne? Tu me manques, mon Amour. Mes larmes dessinent des sillons dans mon âme que seule toi est capable de réparer. L’acide qui noie mon cœur ne se calme pas. J’ai essayé d’affaiblir le poison qui ronge mon être. Mais il progresse, inexorablement. Il a tout brûlé. Toutes ces joies que j’avais. Que j’étais capable d’avoir. Tous ces petits rêves que j’avais. Toutes ces envies qui fait qu’on se lève le matin, et qu’on se couche le soir, sans vouloir y mettre fin. Tout a disparu. Je veux bien rejoindre les Enfers. D’après un écrivain que tu n’as pas lu, le supplice infernal, les hommes se l’infligeaient tout seul après la mort, incapable de se pardonner leurs actes accomplis de leurs vivants. Je veux bien y croire. Tu me manques, tu sais ? Mes pleurs continuent encore d’alimenter ma plume, qui trace, encore et encore, dans le néant, les jours où j’étais vivant, les jours où j’étais debout. Les jours où j’aurais put l’être. Je peins dans les ombres des illusions de mon bonheur passé, et de ce qu’aurait été notre futur. Je n’ai pas besoin d’aller en enfer. J’y suis déjà.