HighwaytoHell

HighwaytoHell

Vendredi 29 juin 2012 à 12:33

 C'était pas grand chose. Mais j'y tenais moi.
Nevermind. On sourit et on continue.

Jeudi 28 juin 2012 à 1:26

 Là c'est le moment où on doit m'imaginer en larme en train de penser fort: "Tu ne me feras pas de mal, hein?"

Mardi 26 juin 2012 à 22:48

 Une fois. J'voulais sortir une fois. En quoi? Trois semaines, un mois? 
J'demandais pas des heures inaccessibles. Mais non. Fallait que tu sois là, connard insignifiant. Cafard, parasite. 
Sombre merde chronophage. Tu es trop jeune pour comprendre, mais qu'est ce que je te hais. A toi tout seul, tu as réussi à pulvériser mon restant de vie sociale? Par ta simple PUTAIN d'existence? Je voudrais te vaporiser! Tu es un concentré de ce que je déteste. De ce que je hais. C'n'est pas la première fois. Tu as brisé touuutes mes sorties depuis le début de l'année. A part quelques exeptions. Pusi, c'pas comme si tu étais agréable. Tu es borné, énervé, con, mais tellement con. Impulsif égocentrique et prétentieux. J'te vomis dans la bouche.

Merci. Petit frère.

Samedi 23 juin 2012 à 23:49

 Café. Reflets dorés, de la lumière artificielle. C'est bon, de se prendre un café à quatre heures du mat'. Sentiment de liberté. La vie nocturne est bien plus belle et séduisant que sa soeur Diurne. Pas de travail, pas de contraintes. Pas de gens indésirables. Il ne reste que toi. Au milieu du Chaos. Au final, s'affronter est pire qu'affronter toute la société et ses composants. Les deux combats sont vains. On peut que perdre contre soit même. Ou comprendre, et cesser cette lutte ridicule.

J'me sens d'humeur productive, ce soir.
J'en connais au moins une qui va être content.
Putain, faut vraiment que j'arrête de donner les conseils que je suis le moins apte à suivre.

Samedi 23 juin 2012 à 23:45

Café.
Well well well... Welcome, to my lair.
This is kind of madness. Tu m'étonnes.
Pensées destructurées. Elles se font échos. Comme une boite dont les sons se répercuteraient indéfiniment. Comme une symphonie désharmonieuse. Comme du Beethoven dans un esprit malade. Comme la raison dans la folie. Métaphore comparative d'une qualité médiocre. Flamme. Consume et détruit ce qui le nourrit. 
Le café dans la cuillère changent de couleurs, selon l'angle auquel il est soumit par rapport à la lumière.
Jouer avec les degrés de dorés.
La folie guette.
Le café tombe.
Elle se nourrit de mon esprit.
Et redevient noir.
Comme ce qui restait de mon âme. 

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