HighwaytoHell
HighwaytoHell
Vendredi 22 juin 2012 à 21:02
Mais ça m'a éclaté. même si l'interêt est pas si grand que ça, j'm'en fous. Bref. Le voilà.
Jeudi 21 juin 2012 à 23:26
Revenons- en à SIKO. Un croisement entre un teenagers movie, une parodie, de la fantaisy, et surement pleins d'autres genres. Tout ça dans un univers post apocalyptique. Apocalyptique, c'est le mot. Pour résumer, alors qu'un concert se joue, et qu'une baston monumentale se prépare, On a droit à la fin du monde, plus ou moins annoncée par énigme par un petit noir. Ca à l'air bordélique comme ça, c'est normal, ça l'est. Il faut absolument réussir à se mettre dans cette logique chaotique pour lire, car TOUT est chaotique. Le style d'écriture, le scénario, bien que préparé, et qui me semble plutôt bien ficelé, vous donnera vaguement l'impression de jouer au vase percée (Plus vous en savez, moins vous comprenez. Et quand vous croyez comprendre, en fait, non.)
C'est particulier. Très, particulier.
Tout d'abord, les personnages principaux. Aucun héros là dedans. Des gens, tout aussi héroïque que vous et moi, mais dans une situation qui n'a rien de normale. Des caractères attachants, complexes. On peut les détester, mais pas les ignorer. Chaque personnage a une identité propre, un univers que l'auteur sait utiliser pour rebondir. Le style de narration, qui les fait passer les un après les autres au centre de l'intrigue, en changeant de point de vue, force le lecteur à se rapprocher des antihéros. De ressentir. Ils ont tous une âme. Incontestablement, chaque personnage pourrait être réel. La plupart étant inspiré de gens réels, ça parait normal, mais l'auteur est vraiment talentueux pour faire passer les émotions les plus complexes simplement. Phrases types "sniper", humour décalé, références nombreuses. Tout cela force à l'immersion. [EDIT : Ceci est un fail de ma part, seulement trois personnages, voir 4 sont inspirés de gens réels. L'auteur est donc meilleur que ce que j'ai écris: Shame on me.]
Le point négatif tout ça, c'est que les changements brutaux de points de vue finissent par semer le lecteur parmi les nombreux points de vue. La différence entre chacun des personnages permet de vite s'y retrouver, mais parfois(souvent? ) des relectures de chapitres précédents sont nécessaires pour avancer, ce qui rebute un peu. De plus, les nombreuses références, à des musiques, aux private joke que l'auteur a probablement avec ses amis, ou avec lui même rendent parfois la lecture un peu complexe, niveau ambiance. Suffit d'une citation de musique pour perdre l'ambiance qu'on avait réussi à créer dans ce qui nous sert de cerveau.
En parlant de l'ambiance. Malgré le bémol cité au dessus, c'est quand même un des gros points forts de la fiction, avec les personnages, je trouve. (Avis PARFAITEMENT SUBJECTIF. HighwayToHell n'est pas une démocratie, mais une dictature, plus ou moins bienveillante.) On sent le musicien derrière. Le monde décrit est bien dépeint. Le monde écrit vit dans nos têtes. Les musiques sont parfaitement décrites. On vit avec le monde qu'on nous impose, et c'est juste magique.
Quant au scénario, qui sera le dernier point de cette mini appréciation de semi critique littéraire que je suis, il est tout aussi spécial que le reste de l'univers. Pas incohérent. Ni anarchique. Avec du recul on voit bien que c'est ficelé.Mais les informations sont données au compte gouttes. Faut pas être pressé. Ce qui a un avantage, comme un inconvénient. S'arrêter de lire peut être fatal à la compréhension, d'un autre côté, on en veut plus, toujours pluuus. *zombie mode* Ce qui a failli me donner une nuit blanche. Vil personnage qu'il est. Mais le scénario est logique, et pour l'instant n'a pas l'air de se contredire. Difficile, de dire s'il le fera, vu le peu d'informations dont on dispose réellement. Puisque tout ce qu'on sait est tout le temps remis en question. Ce qui est un piège des plus fourbes. Et j'adore ça.
Voilàà! En espérant que Sieur Orjan sera satisfait.
Edit: J'me rend compte que c'est qu'une succession d'avis qui n'engagent de moi et qui ne t'aident surement en rien. Navré.
Mercredi 20 juin 2012 à 2:21
Bonjour, Bonsoir.
Grâce à une personne dont je ne citerai pas le nom, parce que vous vous en foutez, et que ça n’apporte rien, j’ai décidé de faire un petit tuto’ LoL. Juste pour faire passer le temps. Sissi. Je ne suis pas un joueur monstrueux, mais j’ai ma petite expérience du jeu, et je vous en fais profiter. Je suis trop bon. Vous devriez me livrer un culte. Bref.
Donc, LoL, qu’est ce que c’est ?
LoL, ou League of Legend, est ce que l’on appelle un MOBA. Soit Multiplayer Online Battle Arena. Donc jeu d’arène multi-joueurs en ligne, pour les anglophobes, et les plus cons d’entre vous. Ce genre de jeu vient d'un mode de Warcraft troisième du nom, qui se nommait DotA. Defense of the Ancient. Le concept est simple. Vous avec un héros, une base, et une équipe. En face, et ce sur une carte parfaitement symétrique, la même chose. Le but du jeu : anéantir la base ennemie. Ou plus précisément le dernier bâtiment, qui répond au doux nom de Nexus. Si je suis d’humeur travailleuse, vous aurez droit à une belle image pour illustrer mes dires. (L’ayant fait : regardez la carte.)
Donc, vous avez un héros. Vous devez donc faire un choix parmi la masse trèèès importante de héros existants. Vous pouvez changer de héros d’une partie sur l’autre, ce choix n’est donc pas définitif. Do not panic.
La présentation, c’est cool, mais comment on joue ?
Je pense que même le plus idiot d’entre vous peut piger la base, tellement c’est ridiculement simple. On se déplace à base de clicks droits, et on lance ses pouvoir avec les touches associées, soient : A Z E R . Ou Q W E R selon le clavier. R Etant le sort ultime, débloqué par votre avatar au niveau 6. Généralement le sort le plus puissant du héros. A ces quatre sorts, variable d’un héros à l’autre, vous en avez deux autres. Ce sont les sorts d’invocateurs. Vous les débloquerez en faisant des parties, victorieuse ou non. Des deux sorts, placés en D et F (pour les QWERTY… j’sais pas. Achetez un AZERTY et faites pas chier ? ) Sont des compétences stratégiques, permettant soit l’agressivité, soit la fuite, soit le soin, et les combinaisons de ces deux sorts peuvent créer un mélange polyvalent de tout ça, selon votre héros, style et niveau de jeu.
L’intro, la présentation, c’est fait. Passons au vif du sujet :Le gameplay.
« Bienvenue dans la faille de l’invocateur »
Cool. Vous avez choisi votre héros, vos compétences d’invocateurs, tout ça. Et là une question existentielle doit vous traverser l’esprit.
« Bordel, je fais quoi ? »
Ne comptez pas sur l’aide de vos alliés de la partie, vous ramasserez, au mieux une aide incomplète, donnée sur le tas, et, selon le niveau de jeu de la personne, donnera lieu à un débat plus ou moins constructif sur ce qu’il vaut mieux que vous fassiez, sans rien vous expliquer et vous embrouillant davantage que vous ne l’êtes. Donc lisez-moi. Plus sûr.
Tout d’abord, vous ne manquez pas de constater que vous avez de l’or, en bas à gauche de l’écran, à côté de votre barre de vie et de mana/énergie. Cet or permet donc l’achat d’objet. Merci, Cap’tain Obvious.
Donc, des objets.
Oui, mais lesquels, vous demandez vous surement. Vous avez le choix entre armure, consommable, magie, armes en tout genre, et ça vous file probablement le tournis. Si ça fait moins d’une dizaine de parties que vous êtes dessus, et que vous êtes du genre seul, même si vous croyez savoir, je vous jure que je vous ne savez pas. Maintenant que vous admettez tous fort bien votre rang de néophyte, avançons, si vous le permettez. Sinon, cassez-vous.
Donc : les objets. Commençons par les consommables.
Vous avez donc des potions de vies, de mana, un élixir d’oracle, potions de « courage » et d’ »agilité » et de « jesaisplusquoi. » Sagesse, il me semble, et des balises vertes et roses. OOOOh.
Petite indication : les potions de vies et de mana NE SONT PAS INSTANTANNEES ! Elles augmentent juste la régénération déjà existante de façon très conséquente. Donc attention. Il est par contre intéressant de noter que prendre plusieurs potions cumulent le temps où elles sont fonctionnelles, ce qui est cool, quand on fuit avec un guerrier enragé à ses trousses, et qu’on a VRAIMENT besoin d’un healing constant.
L’élixir d’oracle permet de voir toutes les petites saloperies invisibles. Dont (et ce n’est qu’une liste non exhaustive) : Twitch(Un héros sournois, genre assassin potentiellement fourbe) invisible, des champignons explosifs et empoisonnés, laissé par un délicat adversaire, les balises cités ci-dessus, Une Akali dans son nuage… Bref, plein de trucs qui pourraient impunément vous faire très mal, sans ce brave oracle, qui a comme seul défaut de coûter une petite fortune. Et d’avoir une durée limitée à votre temps de vie. Vous mourrez, il disparait. Il est donc intéressant de confier la lourde tâche de porter l’oracle aux membres les plus résistants de l’équipe. Les off-tanks, support et autre tank sont les bienvenus. Si vous n’avez aucune idée de ce que sont ces trucs, ça va venir.
Passons aux potions aux noms que je trouve farfelue. Le courage augmente votre nombre total de point de vie, l’agilité votre vitesse d’attaque, et la dernière, votre puissance magique. Je l’appellerais AP par la suite de ce tuto’, retenez bien ça, bande de moules écervelés : AP Attack power (donc la puissance magique) et AD Attack Damage (la puissance physique. Celle des hommes, des vrais, pas des tapettes en collant)
Les balises vertes permettent de surveiller une zone pendant trois minutes. A placer dans un endroit stratégique. Endroits que je détaillerais par la suite. Les roses ont la même fonction, en plus performant, puisqu’elles détectent aussi les objets invisibles, ce qui inclut les balises adverses. L’action de poser ces objets et de détruire ceux de l’adversaire sont appelés Ward et Déward.
Le choix d’un item ou d’un autre en début de partie dépendant intégralement de votre style de jeu, et principalement de la classe de votre personnage, je me dois, avant d’aller plus loin dans le choix des items, maintenant que vous savez ce que sont les consommables de présenter les différentes « classes » qui se distinguent, sans trop rentrer dans les détails, non plus.
Comment ça, la blondasse d’archère n’a pas le même rôle que le minotaure enragé, sérieux ?
Mise à part la différence peu subtile du distance/ càc (corps à corps) tous les personnages sont pas là pour infliger du dommage. Et ouais, faut un petit peu réfléchir, mais j’pense que c’est à votre portée.
On a les carry : Ceux sont les dps de fin de partie. Ils mettent du temps à devenir fort, mais ce seront les principaux éléments offensifs de l’équipe. Il existe des carry AD et AP
Off-tank : Dps secondaire, qui ont en plus la possibilité de résister un minimum, ils soutiennent donc à la fois le tanking et le dps, selon le stuff dont on les a affublés.
Support : Bon à moins d’être con vous avez tous compris que c’est pas un instigateur de dommage. Il résiste souvent assez bien, et apporte des buffs avantageux à son équipe. C’est aussi souvent lui qui ward/deward. Et qui porte les oracles. Donc, très utile, bien que souvent mésestimé, même à bon niveau. A noter que le support est pas forcément un heal. Il se base parfois plus sur les CC (Crowd control. Celui qui a dit coup critique dégage, merci.) qui consistent à assommer/rendre inactif, déplacer les gens, bref, le contrôle de foule, comme tous les anglophones l’avaient déjà compris.
Tank : Ceux qui catalysent les dommages de l’équipe adverse, et laisse le temps aux autres de faire leur taf. C’est souvent lui qui engage les combats, et qui sauve les miches de ses pauvres coéquipiers dans la forêt quand c’est la fuite général.
Pour le néophyte moyen : DPS : Damage per seconde. Donc les DPS sont les catégories de personnage qui ont le DPS le plus élevé.
Buff : Bonus donné. Quel que soit la nature du bonus, il sera catégorisé comme Buff. A contrario, n’importe quelle malédiction est un débuff. A ne pas confondre avec Dot.
Dot : Damage over time. Ou dommage sur la durée. C’est un malus qui inflige des dommages sur le temps à intervalle régulier.
Stuff : Equipement.
NB : Certains personnages peuvent jouer des rôles différents de façon efficace. Une bonne visite du net pour savoir comment jouer son personnage peut être utile.
Tu reviens sur les items, maintenant ?
Maintenant que vous savez ce qu’est le personnage que vous avez dans les mains, vous allez pouvoir le stuffer en connaissance de cause. Vous avez, en cliquant sur le magasin, vu en haut à droite qu’il y avait des objets conseillés. Ils sont là pour vous guider, lorsque vous êtes peu expérimenté. Seule une connaissance solide de la plupart des items vous permet de vraies combinaisons productives, et non d’immonde daube à la limite du troll.
Il faut aussi savoir que la plupart des objets peuvent évoluer en d’autres, plus puissant, en les mêlant à d’autres items. Par exemple pour une « bloodthirster » ou soif de sang, il faut mélanger une BF glaive, et un sceptre vampirique. Ces deux objets réunis en ce troisième, deviennent beaucoup plus puissant, en plus de ne tenir que dans une seule place de l’inventaire. Parce que vous n’en avez que six. Et oui.
La première chose à faire est de prendre un item, donc. Bottes et potions, armure et potion, lames ou boucliers de Doran en mains, ou au pied, vous êtes enfin prêts à y aller.
Y aller, oui, mais pourquoi faire ?
Pour gagner de l’or, devenir encore plus puissant et empêcher l’autre de détruire votre base, et essayer de réussir à dawn la leur. Pas compliqué. Chaque sbire tué rapporte une certaines somme d’argent. Votre but est d’en avoir assez pour vous équiper et ratiboiser la tronche de l’adversaire. Seul le dernier coup suffit. Infliger 99% de la vie d’un sbire, sans mettre le dernier coup ne sert strictement à rien.
Donc farmez, équipez-vous, et tuez. Le premier sang (premier meurtre de la partie) donne plus d’or qu’un meurtre normal, essayez de ne pas le donner bêtement à l’équipe adversaire.
C’était les conseils de base, du Cap’tain obvious. Tout ça semble évident à n’importe qui ayant déjà joué un peu. Avançons-nous maintenant sur des pratiques demandant, du skill. TADADA !
Nan j’déconne. Vous n’en êtes pas encore là. J’vais ériger une liste non exhaustive des quelques trucs que vous allez devoir apprendre à faire :
-Jouez en équipe. Soyez polis, et courtois. C’est la base d’une bonne mentalité dans une équipe, et une équipe qui déconne, ou tout du moins qui se prend pas la tête est une équipe plus forte.
-Si vous manquez de confiance, n’êtes pas encore rôdé au jeu, ou encore en infériorité numérique, restez sous les tours alliés. Elles tapent fort et offre une protection dissuasive des plus efficace.
-A contrario, ne foncez pas sur les ennemis comme des damnés. Assurez-vous de ne pas être en train de vous suicider, avant d’agir. Les prises de risques, quand on est néophyte, on évite. Il faut avant tout éviter de « feed » soit mourir inutilement et laissé les ennemis se goinfrer de l’or trouvé sur votre cadavre fumant.
-Apprenez les combos les plus utiles/puissants/adéquat à chaque situation de votre personnage. Parfois, savoir que R A E Z est bien plus efficient que A E Z R peut tout changer. N’hésitez pas à bien lire la fiche de vos personnages favoris. Découvrez les faiblesses et atouts de ceux-ci. La maîtrise du jeu passe par une maîtrise du personnage.
Sur ce, c’est la fin de ce tuto’ sur la Base de League Of Legends.
A toute sur le jeu, bande de larves.
Non, il n’est pas du tout exclus que j’en fasse un second avec des conseils qui intéresseront les gens un peu plus expérimentés.
NB : je n’ai jamais prétendu, à aucune seconde, maîtriser l’ensemble des subtilités du jeu, ni être incroyablement fort. Je me base sur ce que je sais et crois savoir. Je pense que ce sont des choses utiles au débutant, et qui éviterait des parties d’un niveau affligeant, et particulièrement désagréable pour le néophyte concerné. Si vous avez des questions, posez-les. J’y répondrais, quitte à remodeler le tuto’ si elle est plus importante que je ne l’avais pensé au premier abord. D’avance… Merci.
Mardi 19 juin 2012 à 3:05
Début d'un truc apprit il y à deux ans. Il fait partit de ces choses inimportantes que non seulement nous n'oublions pas, mais dont nous conservons les sonorités et tout ce qui lui est affilié. Putain. Je veux une mémoire sélective. Et ça n'a aucune importance. Je délire encore dans la nuit. Et ça n'a aucune importance. Je vais me coucher. Sans la moindre trace de fatigue. Coma. J'ai besoin d'un long coma.
Dimanche 17 juin 2012 à 0:20
Il était deux, et tout était bien comme ça.
Il était deux. La vie et la Mort, l'Espoir et son antéchrist, la confiance et son contraire. La bonté et sa némésis. Fusion malsaine en un seul être. Création de l'humain et de son opposé.
Elle était seule. Simple vie, simples espoirs. En donnant tout pour elle, il est devenu néant. Ils sont désormais un. Elle, aspect de la Vie, lui Mort, veillant sur Elle.