De mes larmes de sangs sont nés des univers. De mes doigts épileptiques et froids se sont croisés destins pour tout finir dans une mare de sang. Juste pour le fun. Rictus dans la nuit. De toute manière, tout s’achèvera, dans les larmes, avec mon clavier, et ma musique, Dieu de pacotille.
HighwaytoHell
HighwaytoHell
HighwaytoHell
HighwaytoHell
Vendredi 15 juin 2012 à 21:44
Cri de l’âme. Hurlement venant du plus profond des enfers. Lente agonie, teinté de beauté. Sublime détresse de l’immolé. Lumière dans les ténèbres, simple blague d’un Dieu mesquin. Recherche de la création dans la mort, de la beauté dans l’inhumain. Lignes décrivant le chaos et la destruction . Nihiliste, pour vous servir.
Jeudi 14 juin 2012 à 3:01
Taper comme un épileptique sur son clavier. Rester devant, et écrire. Sans savoir pourquoi. Parce qu'on a rien de mieux à faire. Dormir? Pas fatigué. Taper sur son clavier. Oublier jusque l'existence même du temps qui passe. Oublier dans le sang de pensées mortes nées, qui l'on est, et pourquoi on est toujours pas couché. Dans la nuit, la musique du casque rend sourd, l'écran, aveugle. le clavier lui rend idiot. Sursaut de conscience, brusque répression. Penser réfléchir ou tout acte similaire est mauvais et nuit à ta santé. Standing the rain, Standing the ground. Quelque chose comme ça. Mutation de l'esprit. Tentaculaire, vil et malsain. A l'image de ce bon vieux monstre lovecraftien que je suis incapable d'orthographier. Merde. Et demain, on recommence. Le serpent se mort la queue. Tourne en rond, cet abruti. Tout ça pour ça.
Diarrhée verbale. Mots qui courent dans l'espace numérique. As Matrix. Au moins le binaire a une logique propre, lui. Pas comme cette sorte de foutue bordel inter-spatial qu'est ce qui est sensé représenter mon cerveau. L'ennui, et mes pensées me tueront. En attendant, je fuis comme je peux. Dormir trop, écouter de la musique trop forte, trop jouer. L'excès cache la faiblesse. La main glacée de ma mort ne me prendra pas comme ça. Avoir de faux objectifs, de fausses bonnes raisons de continuer à être, pour continuer cette parodie de partie. Being the ghost Shadow.
Diarrhée verbale. Mots qui courent dans l'espace numérique. As Matrix. Au moins le binaire a une logique propre, lui. Pas comme cette sorte de foutue bordel inter-spatial qu'est ce qui est sensé représenter mon cerveau. L'ennui, et mes pensées me tueront. En attendant, je fuis comme je peux. Dormir trop, écouter de la musique trop forte, trop jouer. L'excès cache la faiblesse. La main glacée de ma mort ne me prendra pas comme ça. Avoir de faux objectifs, de fausses bonnes raisons de continuer à être, pour continuer cette parodie de partie. Being the ghost Shadow.
Dimanche 10 juin 2012 à 23:02
Maybe at the end i'll let you rest!
La vie est un robot d'Aperture.
La vie est un robot d'Aperture.
Dimanche 10 juin 2012 à 16:57
" And become this machine, thouglthness, selfishness, hopelessness, arrogant"
Dimanche 10 juin 2012 à 16:20
Samedi soir. La Lune est pleine, et le ciel est dégagé. Assis sur mon toit je contemple les étoiles. Musique dans les oreilles, comme toujours. Mon souffle se perd en fumée dans le froid nocturne et hivernal. Lumières artificielles, loin sur ma gauche et ma droite. Je suis fatigué. Moralement. La pluie, commence à tomber. Fine.