HighwaytoHell
HighwaytoHell
Dimanche 10 juin 2012 à 16:20
Samedi soir. La Lune est pleine, et le ciel est dégagé. Assis sur mon toit je contemple les étoiles. Musique dans les oreilles, comme toujours. Mon souffle se perd en fumée dans le froid nocturne et hivernal. Lumières artificielles, loin sur ma gauche et ma droite. Je suis fatigué. Moralement. La pluie, commence à tomber. Fine.
Samedi 9 juin 2012 à 22:41
J'ai compris le truc. Faut pas penser, faut pas prévoir, faut pas se souvenir. Faut pas réfléchir, ni réagir. Faut être, et se contenter d'être. Et là, t'as peut être une chance de pas aller trop mal. C'est ça, le carpe diem?
Samedi 9 juin 2012 à 15:16
Jouer avec son petit frère. Redevenir quelques instants, un enfant. Affronter des méchants dans un combat épique, imaginer des scènes qu'Aucun film ne peut encore égaliser, par leur fantasque, leur beauté et leur fluidité. Etre ce guerrier légendaire de notre enfance, celui qui défaisait des nations, affrontait jusque les dieux, avait rompu les lois de la physique, était une lumière dans les ténèbres.
Puis revenir, brutalement à la réalité. Sortir de ce monde qui fut le mien si longtemps. Où j'étais un dieu et plus encore.
Voir ce guerrier tout puissant se retourner, sur la route, lumière dans les ténèbres d'un temps qui n'est plus. Regarder en arrière. Et pleurer ce temps, ce temps où tout était possible. Ou même le temps n'était qu'une barrière que la volonté éclatait.
Le guerrier disparait. L'ombre englobe tout.
C'était mieux, avant, isn't it?
Puis revenir, brutalement à la réalité. Sortir de ce monde qui fut le mien si longtemps. Où j'étais un dieu et plus encore.
Voir ce guerrier tout puissant se retourner, sur la route, lumière dans les ténèbres d'un temps qui n'est plus. Regarder en arrière. Et pleurer ce temps, ce temps où tout était possible. Ou même le temps n'était qu'une barrière que la volonté éclatait.
Le guerrier disparait. L'ombre englobe tout.
C'était mieux, avant, isn't it?
Samedi 9 juin 2012 à 13:57
See, see what you have done.
Realize, tat the end of the time,
at the end of everything,
you just can cry, and pray for better
No one need you, no one see you,
No one will cry, at your funeral
Time is up, all is over.
As you're falling in shadow, i'm being stronger
Time is up and you can't do anything
Realize, tat the end of the time,
at the end of everything,
you just can cry, and pray for better
No one need you, no one see you,
No one will cry, at your funeral
Time is up, all is over.
As you're falling in shadow, i'm being stronger
Time is up and you can't do anything
So, I'll be your tears of blood,
When you'll cry.
No one need you, no one see you again,
No one, will cry at your funeral.
I'm the monster you really are inside,
The fear, the rage and the pain.
And, when you'll jump against this train,
I will laugh, again,
Because...
No one need you, no one see you,
No one will cry at your funeral
When you'll cry.
No one need you, no one see you again,
No one, will cry at your funeral.
I'm the monster you really are inside,
The fear, the rage and the pain.
And, when you'll jump against this train,
I will laugh, again,
Because...
No one need you, no one see you,
No one will cry at your funeral
No one, No one...
L'écrit pseudo anglophone du jour, imaginé en musique.
(Pitié, pas de reprises sur mon anglais.
Ce texte n'a pas été imaginé pour être correct
, mais juste pour me libérer.)
Mardi 5 juin 2012 à 21:13
Mon instinct me hurle que quelque chose cloche. Ce n'est pas normal. Je hais ça. Surtout que je me suis rarement trompé avec ce sentiment par le passé. Da fuck. J'ai peur. Et ces souvenirs... Pourquoi n'ai je pas encore la paix, hein? J'ai revu A.S y'a une semaine. C'était bien. C'était comme avant. La phase de froid avait l'air d'être passé. On avait bien rit. Pour quelques heures, c'était bien Peut être que c'est dans ce genre de moment que je devrias me réfugier, et lutter contre moi même le reste du temps. Bref. Je sais plus où je suis, où je vais, et dans quel état j'erre.
Je suis perdu.
Je suis perdu.