Salut. Je sais pas à qui je parle. Ca n'a pas d'importance. Est ce que ça en a déjà eut? Ma schyzophrénie latente me confirme qu'à force de me parler à moi même, cette question n'a plus de sens. Noté. J'ai pas vraiment écrit depuis un moment ici. Ca non plus, ça n'a pas d'importance. Je relativise. Je suis plus capable de trouver un truc important. Vraiment important. Un truc. N'importe quoi. J'ai toujours fui quand j'avais mal. Ce comportement (féminin, parait il) est ancré en moi depuis toujours. Se taire, faire mine que, avec plus ou moins de conviction, tout va bien,et avancer. A force de reculer, de courir, de m'échapper de moi même... J'ai oublié si j'avais une identité. Je crois bien. Cette semaine, j'en avais une en tout cas. Aller, tout ça se finit soon.
Mes prises de tête vont s'arrêter. Mes nuits vont cesser d'être des plaies à ciel ouvert. Bientôt. Demain, ou peut être le surlendemain. Voir le jour d'après La douleur s'achèvera. Je sais pas de quoi sera faite la suite. Je m'en fous. C'est pas important. Le problème va bientôt changer de nature. Il va évoluer, muter. Je verrai si la transformation me plait.
Ou pas.
Et ne pas comprendre le titre est tout à fait normal, rassurez vous.
Ou pas aussi, en fait, ça aussi, je m'en fous. Avant j'aurais terminé ce déballage de pensées absurdes par une insulte.
J'en ai plus la force, maintenant. Ciao.
HighwaytoHell
HighwaytoHell
Lundi 5 novembre 2012 à 0:50
Dimanche 28 octobre 2012 à 20:40
Je vous laisse. Une semaine durant. Pour plusieurs raisons que les rares personnes fréquentant ces lieux connaissent, je pense. Rassurez vous, je reviendrais changer. En mieux, en pire, on verra ça. Aller, salutations, bandes de tarés.
Mardi 23 octobre 2012 à 0:05
Ma soeur reste.
Je ne me savais plus capable de pleurer de joie, depuis l'année dernière. Tout arrive.
Bon. Je fais mes valises quand? :D
Je ne me savais plus capable de pleurer de joie, depuis l'année dernière. Tout arrive.
Bon. Je fais mes valises quand? :D
Samedi 20 octobre 2012 à 1:53
Parfois, affronter son passé, c'est pire que se mettre une balle dans la jambe.
Parfois, affronter son passé ne permet pas de reconstruire un futur.
Parfois, affronter son passé ne sert à rien d'autre qu'à nourrir l'illusion d'avancer.
Je prend le risque. Mes sincères excuses, si jamais je me foire lamentablement.
Oh? Déjà trop tard?
Sourire acide.
Tant pis, j'aime vivre dangereusement.
Rire. Enténébré. Noué par les larmes.
Parfois, affronter son passé ne permet pas de reconstruire un futur.
Parfois, affronter son passé ne sert à rien d'autre qu'à nourrir l'illusion d'avancer.
Je prend le risque. Mes sincères excuses, si jamais je me foire lamentablement.
Oh? Déjà trop tard?
Sourire acide.
Tant pis, j'aime vivre dangereusement.
Rire. Enténébré. Noué par les larmes.
Vendredi 19 octobre 2012 à 0:43
Pas le courage de mettre un titre. Malade, incapable de pioncer, comme à mon habitude. Gorge en feu et cervelle en poussière. J'ai eut envie de mettre pleins de phrases pseudos anglaises qui exprimeraient mon ressenti. Mais, là, le courage me manque. Je n'arrive pas à espérer quoi que ce soit. J'aimerais, pourtant, vraiment. Une même question revient pourtant en boucle, que j'élude avec un sourire cynique, parce qu'il faut bien. J'ai besoin d'un bond en avant dans le temps. Ou d'un long retour en arrière. Parait que ce genre d'attitude est lâche. Je ne le nie pas. Je m'en fous, en fait pour maintenant. On ne me filera pas de médaille pour mon courage, qu'on vienne pas me les briser pour ma lâcheté.
Comment j'ai fais pour en arriver là? J'ai que quelques éléments de réponses. Ca ne me convient pas du tout.
Reviens vite, moi, je fatigue. Un article avorté dans la douleur de l'émo de 12 ans moyens. J'devrais avoir honte, je crois. Putain.
Comment j'ai fais pour en arriver là? J'ai que quelques éléments de réponses. Ca ne me convient pas du tout.
Reviens vite, moi, je fatigue. Un article avorté dans la douleur de l'émo de 12 ans moyens. J'devrais avoir honte, je crois. Putain.