HighwaytoHell

HighwaytoHell

Dimanche 30 septembre 2012 à 22:52

Demain, cours.
Comme six jours sur sept.
Comme six jours sur sept, j'aurais envie de vomir le matin. j'aurais mal dormi. Je serai dégouté avant même d'être sorti du lit. Comme six jours sur sept, je vais m'abrutir au prix du BAC. Comme six jour sur sept, on va m'apprendre des trucs, au prix de huit heure de vie. Comme sept jours sur sept, je vais voir ces gens. Ces gens avec lesquels je n'ai rien en commun. Bordel, mais qu'est ce que je fais là bas, six jour sur sept? 
Je ne suis pas chez moi ici.
Je ne suis pas à ma place, ici.
Ni là bas. Ma place a disparu.
Bordel, tu me manques. Comme tous les autres jours, sans toi.

Dimanche 23 septembre 2012 à 23:31

 Elle est partie. Je suis seul, chez moi. Je suis en sécurité. Dans ma chambre, assis dans un coin. Dans le noir. Elle ne doit pas me voir. Je suis en sécurité ici. J’ai mon couteau sur moi. Je suis caché. Elle ne m’aura pas. 

 

« Ca ne fait pas mal… Viens… »

Elle n’est pas là. Elle dit ça pour me faire sortir de chez moi. Je le sais. Je ne partirai pas. Sa voix éthérée ne me fera plus de mal. Je suis à l’abri ici. Tu peux rien faire, ici. Je suis chez moi. Chez moi, tu m’entends ?

« Je te connais. Tu as peur. Tu as froid. Viens… Viens… Que je t’apporte ce sommeil, cette paix que tu as toujours voulu… »

Tu ne me connais plus. Une éternité qu’on s’est pas vu. Pars. Pars loin, putain. Oui j’ai froid, oui je suis fatigué. Mais je ne te donnerai pas raison. Non. Tu ne peux rien me faire. C’est vrai que ça fait des années que je suis vide. Que j’ai mal. Mais je refuse, je ne céderai pas.

« Souviens toi. Il n’y a pas si longtemps que ça… »

Non, je veux pas. Je refuse. C’est loin. Je veux que ça reste loin…

« Tu avais chaud. Tu étais bien, n’est-ce pas… Dis-le ! Admet-le. Tout ira bien… »

Je ne peux pas. Je ne peux pas. Ce temps-là est… Révolu. A jamais. Je ne veux pas. Je ne veux pas. Me souvenir. Tout ça. C’est pas pour moi.

Je sors mon couteau.

« Ca ne fait pas mal… »

Je le sers. Fort. Je l’aimais tellement fort.

« Reviens moi… »

 Sang. Froid. Tellement froid.

« Embrasse moi… »

La mort. Mon Amour.

« K.D, étudiant, mort suicidé, après une crise de folie, due à l’alcool.
A rejoint son ange. »

Jeudi 20 septembre 2012 à 19:27

 Il est temps qu'avance le temps. 
Je pense encore. Putain que c'est fatiguant, de penser. Je suis poursuivi jusque dans mes rêves. Je veux plus penser. Pas à ça. 
People always leave, disait souvent une amie. Ce qu'elle a omit de dire, c'est qu'on laisse plus de gens sur le côté que l'on n'aimerait le penser.
J'ai jamais était aussi crevé par une rentrée. 
Sur ce, je vais m'anesthésier à l'eau chaude. Avec de la chance, je ne penserais plus. C'est tellement fatiguant.
Je veux me reposer.
Je veux dormir.

Dors, petit.
Et dans la nuit, tu verras, oui tu verras bien,
Friand d'aberration logique et d'absurdité carthésiene,
Intelligent et posé, ce démon, froid et calculateur,
négatif de toi, Positif du néant
Inattendue réconfort de celui qui te blesse.
T'attrape.
Inefficace écriture du tourmenté,
Vendu par son âme et son coeur,
Et tellement fatigué. Par la nuit. Par le froid. 
Malade. Il devient complètement malade. 
Energie perdue. Du corps, ou de l'esprit?
Néant en tant qu'être humain, concept d'échec.
Temps raté. Miroir de son lui.

Oupas. 

Lundi 10 septembre 2012 à 0:09

All by myself, I walk around, in the night.
Tired to be alone.I... Face to my darkside.
And from his whispers...
He becomes mad.
And kills himself.
In the night.

There's some light you'll never able to see.
In the night.
some songs, some things did'nt exist to be.
They exist because. The reason will never be known.

You are. And you'll be.
In the night.
You hear someone cry, but you can't do anything.
In the night.
You can cry.
No one is an hero.
No one is someone.
And no one is You.
You're nothin'.
No one is nothin'.
In the night.
Remember of his deadly face.
When.
When he say'd he loves you forever.
And burn himself in that.
He becomes nothin'.
You mad.
You're nothin'.
So he's mad too?
In the night.
No one.
Will cry, at your funeral.

Forget.
Everything.
In virtual blood.
Of virtual enemies.

Mercredi 5 septembre 2012 à 4:15

 Mon cerveau s'est pété un délire et s'obstine à m'empêcher de dormir. Délire du prof et de lélève, j'assume les deux rôles.
Je frise la folie là. Quoi que je fasse, je pense, toujours. A des trucs douloureux, ou a des des trucs inintéressants. Ou alors intéressant, mais pas plus qu'une heure de sommeil.
Keep your mind, don't lose control, be fruit.
Ce jeu de mot est naze. 
On peut me dire pourquoi je suis incapable de pioncer?
(Ow, et mon pc  upload une vidéo. pour ça que j'y suis retourné deux fois en peu de temps. Je me sens ne pleine forme. Et cette vidéo est une vidéo sur League of Legend, de qualité équivalente aux autres. Je songe à me faire un blog consacré aux jeux vidéos, seul domaine où je me débrouille.)

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