Haaaa. On se sent mieux ici.
Retour à un monde où je me sens déjà plus à l'aise. Aller, on remercie tous en choeur LogLady pour son offre généreuse, c'est le deuxième PREMIUM qu'elle me paie, ça mérite des applaudissement! (Sous peine de mort violente, faites gaffe. )
HighwaytoHell
HighwaytoHell
HighwaytoHell
HighwaytoHell
Dimanche 25 novembre 2012 à 15:07
Jeudi 22 novembre 2012 à 1:02
Je crois que je recommence à être fatigué. La fatigue physique. Suffisante pour passer des nuits ininterrompues. Lourdes. Et dépourvues de pensées parasites. Enfin. J'ai un message à envoyer sur mon phone. J'y arrive pas. Ca dépasse ce qu'il me reste de force. Musique d'une amie dans la tête. "And Again, and again, and again, and again... I will try to do what I can I promise you... I'll be there." Je me motive comme je peux. Ma soeur, rencontré ici même, est l'objectif de l'année. Je suis fatigué. Envie de vomir et gout d'amertume dans la bouche.
Je suis fatigué.
PS: Si tu passes par ici Log Lady, je t'ai laissé deux mails! Et je suis encore une fois désolé de pas avoir répondu aux tiens assez vite.
Je suis fatigué.
PS: Si tu passes par ici Log Lady, je t'ai laissé deux mails! Et je suis encore une fois désolé de pas avoir répondu aux tiens assez vite.
Lundi 5 novembre 2012 à 0:50
Salut. Je sais pas à qui je parle. Ca n'a pas d'importance. Est ce que ça en a déjà eut? Ma schyzophrénie latente me confirme qu'à force de me parler à moi même, cette question n'a plus de sens. Noté. J'ai pas vraiment écrit depuis un moment ici. Ca non plus, ça n'a pas d'importance. Je relativise. Je suis plus capable de trouver un truc important. Vraiment important. Un truc. N'importe quoi. J'ai toujours fui quand j'avais mal. Ce comportement (féminin, parait il) est ancré en moi depuis toujours. Se taire, faire mine que, avec plus ou moins de conviction, tout va bien,et avancer. A force de reculer, de courir, de m'échapper de moi même... J'ai oublié si j'avais une identité. Je crois bien. Cette semaine, j'en avais une en tout cas. Aller, tout ça se finit soon.
Mes prises de tête vont s'arrêter. Mes nuits vont cesser d'être des plaies à ciel ouvert. Bientôt. Demain, ou peut être le surlendemain. Voir le jour d'après La douleur s'achèvera. Je sais pas de quoi sera faite la suite. Je m'en fous. C'est pas important. Le problème va bientôt changer de nature. Il va évoluer, muter. Je verrai si la transformation me plait.
Ou pas.
Et ne pas comprendre le titre est tout à fait normal, rassurez vous.
Ou pas aussi, en fait, ça aussi, je m'en fous. Avant j'aurais terminé ce déballage de pensées absurdes par une insulte.
J'en ai plus la force, maintenant. Ciao.
Mes prises de tête vont s'arrêter. Mes nuits vont cesser d'être des plaies à ciel ouvert. Bientôt. Demain, ou peut être le surlendemain. Voir le jour d'après La douleur s'achèvera. Je sais pas de quoi sera faite la suite. Je m'en fous. C'est pas important. Le problème va bientôt changer de nature. Il va évoluer, muter. Je verrai si la transformation me plait.
Ou pas.
Et ne pas comprendre le titre est tout à fait normal, rassurez vous.
Ou pas aussi, en fait, ça aussi, je m'en fous. Avant j'aurais terminé ce déballage de pensées absurdes par une insulte.
J'en ai plus la force, maintenant. Ciao.
Dimanche 28 octobre 2012 à 20:40
Je vous laisse. Une semaine durant. Pour plusieurs raisons que les rares personnes fréquentant ces lieux connaissent, je pense. Rassurez vous, je reviendrais changer. En mieux, en pire, on verra ça. Aller, salutations, bandes de tarés.
Samedi 20 octobre 2012 à 1:53
Parfois, affronter son passé, c'est pire que se mettre une balle dans la jambe.
Parfois, affronter son passé ne permet pas de reconstruire un futur.
Parfois, affronter son passé ne sert à rien d'autre qu'à nourrir l'illusion d'avancer.
Je prend le risque. Mes sincères excuses, si jamais je me foire lamentablement.
Oh? Déjà trop tard?
Sourire acide.
Tant pis, j'aime vivre dangereusement.
Rire. Enténébré. Noué par les larmes.
Parfois, affronter son passé ne permet pas de reconstruire un futur.
Parfois, affronter son passé ne sert à rien d'autre qu'à nourrir l'illusion d'avancer.
Je prend le risque. Mes sincères excuses, si jamais je me foire lamentablement.
Oh? Déjà trop tard?
Sourire acide.
Tant pis, j'aime vivre dangereusement.
Rire. Enténébré. Noué par les larmes.