HighwaytoHell

HighwaytoHell

Vendredi 7 juin 2013 à 3:52

 Petite envie qui me traine dans le crâne. Vu le peu d'envies que j'ai, autant que j'exécute celles qui passent sans trop me poser de questions.
Enfin, faut pas déconner non plus. Quelques personnes mourraient, dans la foulée, sinon.
J'veux me faire un album au nom du souvenir.
Non pas que j'oublie les moments forts, mais j'ai toujours la peur de finir par le faire.
Les détails s'estompent, et ma mémoire m'insupporte, à ne pas être aussi forte qu'avant.
L'apathie m'a peut être fait plus de mal que je ne le pensais.
Bref. J'vais pas le faire dans l'ordre. Parce que ça serait compliqué de savoir par quoi commencer. Alors je vais juste suivre le fil de mes pensées. Le tout sur du Nigthwish et du Avril Lavigne. Comme quoi...

En parlant de Nightwish.

J'pourrais parler de Wishmaster. Celle que j'écoutais quand j'ai rencontré mon ex. Elle me donnait pas mal de force. Bye bye beautiful aussi. Et le End of the all hope m'a toujours transcendé. Depuis mes neuf ans. Ow, puis y'a The Escapist. Chanté par la belle en question. Très belle. Ode au rêve.Et dieu que j'aimais rêver. Au passé, ouais, parce que faut pas déconner. Ca ne me tire plus que des grimaces douloureuses. Un peu comme si on appuyait bien fort sur une plaie. Et ouverte, la plaie.

Dans le registre du rêve, qu'ai je donc d'autre à proposer....
y'a le thème de Dragon, et God Is An Astronaut, qui ont véhiculés des rêves. Et pas les plus petits. J'ai écris, avec ces musiques, pas mal. Quand je mettais pas des musiques de brutes, cela s'entend.

D'ailleurs mon bracelet me signale que j'ai pas parlé de Bullet For My Valentine. Quelle honte. Mon ancien réveil, de la guitare comme je l'aimais et l'aime toujours du scream, toussa. Waking the Demon, Tears don't fall, j'en passe et des meilleurs. J'me souviendrais toujours que je mettais cette musique à fond, chez Estelle, en sortant de la douche, pendant que tu prenais la tienne. C'était kool. Bonne image mentale.

Dans le même délire, y'a Sum 41, avec lequel j'ai une vieille relation. Une petite recherche des titres s'imposent pour la suite. 
The Hell Song. C'est la musique avec laquelle je les ai connu. Elle me faisait bien marré, j'ai pas mal joué dessus. Elle me filait de l'énergie.
Pieces me suivait dans la déprime. Seul avec ma musique. Avant même Estelle. Et ça commence à dater, mine de rien.
Over my head me donnait une sainte rage. Energie, toussa. Toujours dans la déprime, elle m'empêchait de sombrer avec d'autre. Puis je l'aimais bien.
There's no solution, parce que Kim me l'avait filé. J'arrive plus à situer quand exactement, mais j'avais déjà rencontré Estelle.

D'ailleurs c'est grâce à elle que je me suis remis à Papa Roach.
Forever. Entre autre. Celle qui m'a le plus marqué, parce qu'elle m'a suivi, même si je ne l'ai pas décerné qu'à Estelle, celle ci. Balade avec Anne Saw, sous le soleil. Aussi sous la flotte d'ailleurs.

Forever, de Fireflight, ce coup ci. Découverte grâce à Anne Saw. Surtout dédiée à la seule qui a bien voulu de moi. Pas écouté depuis longtemps. Mauvaise image mentale, celle là. Vaut mieux pas trop réfléchir à ce qu'on a perdu par bêtise. Surtout que j'ai rien récupéré en échange. En perdant Estelle, j'ai commencé à creuser un loooooong tunnel. Aimerais bien en sortir un jour, mais c'est autre chose. La douleur a évolué, les causes sont plus les même, mais revoir la lumière du jour, ça serait cool.

Durant ma petite vie de couple, certaines musiques m'ont plus marquées que d'autre.
Y'a, évidemment, celles qu'elle me chantait, parce qu'il faut pas déconner, sa voix est sublime.
Escapist, de Nighwish, comme dit plus haut, Sleeping Sun, qui avait inspiré des textes avant même que je la connaisse, bercé pas mal d'espoirs de rêveries nocturnes. Rondoudou. Elle comprendra si elle passe ici *rire*  Amour Troll, de Joffré, même si là, c'est plus moi qui chantait. Faux, entre autre, mais j'adorais le rythme. Générique de pokémon, pendant qu'on jouait à deux. Me souviendrais toujours de comment je m'énervais. Ait un peu gagné en maturité, d'ailleurs de ce côté là. Je déteste toujours perdre, cela dit. On se refait pas. Malheureusement.

Kyo. Parce qu'on a chanté ensemble Une Dernière danse plus d'une fois. Parce qu'on a écouté en boucle ce chanteur en glandant gentiment dans son lit et que ça fait partie des meilleurs moments de ma vie. Et que je tiens à ces meilleurs moments. J'ai pas encore à le conjuguer au passé ça. Tant mieux. 
Note particulière aux musiques qui vont suivre :

Secondhand Serenade, Your Call. Tous les amoureux doivent la connaitre, mais putain qu'est ce que je l'adorais. Qu'est ce qu'on l'adorait.  
Sonata Arctica, Shy. Parce qu'elle me l'avait chanté. Parce que j'ai ri, pleuré, fait l'amour sur cette musique. 
L'espoir, Kanon Wakeshima. La chambre enfumée de Sébastien, la musique, un vieux jeu de conquête spatiale sur le pc... Oui, ça, je me souviens de tout. D'ailleurs, je viens de me la remettre. Marrant de voir que certains passages sont encore connus de ma mémoire. Y'a un moment pour tout. Faire sa déclaration sur cette musique, c'était la classe, et c'était le bon moment. J'le savais pas, mais j'étais foutrement doué, en fait. 

Y'a aussi eut Dark Lunacy. Snowdrifts. Owai. Je me la met tiens. 
Découverte y'a longtemps, cette musique a couvert l'ensemble de mes sentiments, je crois. La haine, profonde. La déprime, violente et entêtante. 
L'amour dans toute sa puissance. Cette musique c'est l'expression absolue. C'est la haine, l'amour. La violence de tout ça. Si y'a un enterrement pour moi, c'est ça que je veux. Et à fond. Je veux que ça hurle toute la frustration que j'ai éprouvé en 5 minutes. Cette musique en est bien capable.

Parce que oui, j'aime bien, le métal. Sissi.
Dark Tranquility a aussi une part d'honneur dans mes souvenirs bien que pour mon moral j'ai décidé plus ou moins consciemment de n'écouter que celles qui étaient le moins reliés à ma vie amoureuse, puis de ne plus l'écouter du tout. Comme Sonata Arctica. Parce que The Mundane and The Magic, ça représente pas mal, aussi. Chanson ensemble, alors qu'on connaissait pas les paroles, et qu'on massacrait le refrain, toujours au même endroit. mais on s'en foutait. C'était beau, on était ensemble. Ca avait pas des masses d'importance. Me rappelle la balade en forêt.

Et du coup la déclaration de mariage. Que j'avais faite sur Within Temptation. In Perfect Harmonyyyy. Ohhhh yeah. 
Damn, j'avais assuré niveau timing, et la musique était parfaitement appropriée. 
Dans les trucs moins drôle, je pense à Dead Boys Poem. Des envies de suicides sont souvent passés, sur elle. 
Le manque aussi, et la sensation de vide, quand je revenais.
C'est d'ailleurs ne revenant dans le train que j'ai renoué avec Slipknot, avant que ce putain de MP3 merdique lâche.
Parce que là, tu m'avais vraiment refilé une daube. Mais je t'en ai jamais voulu, j'aurais du en avoir un, de toute manière.

"I've felt the hate rise up in me, Kneel down and clear the stone of leaves, I wander out where you can't see, inside my sheel I wait and bleed.'
Owwww Yeah. j'exulte ma joie ce soir ! Cela dit, repenser à tout ça me file un de ces boost énergétique, je me sens presque en forme !
Je pensais que j'allais parler de moins de musiques, quand même. Ca commence à être un foutu pavé indigeste.
 
Ow, puis y'a la musique qui sonnait le début de la fin, aussi ! De pretty Reckless. Just Tonight. Un bail qu'elle a disparu de mon historique, celle là. Découverte lors de ma toute première réelle insomnie. Elle a accompagné mes doutes, jusqu'à ce que je sombre dans mon apathie émotionnelle adorée. 

Ow, et puis, je me souviens de mon stage en troisième. La radio avait était particulièrement dégueulasse avec moi. Elle sortait juste toi et moi de jesaisplusqui toutes les demi heures, alors que putain, elle me manquait. D'ailleurs, en repensant aux vacances d'été, y'a aussi Mika, Elle me dit, qui a était l'objet de pas mal d'écoutes plus ou moins désirées ensemble. Oh yeah. Amusant. 

D'ailleurs je me souviens encore de la forêt de ronces qu'on a traversé. Où j'ai fini lacéré de partout.  Et où je me suis empalé sur une putain de ronces, juste parce que j'étais le seul apte à passer en premier. J'suis pas sur d'avoir encore la cicatrice. Je vérifie. Y'a pas l'air. Bon à cette heure ci, l'éclairage est foireux. J'regarderai demain. [EDIT OF DOOM: J'ai encore un des branches du Y que formait la cicatrice. Amusant.] D'ailleurs, faudra que je finisse par me motiver  à aller voir un médecin, avec cette saloperie que j'ai sous la peau depuis plus d'un an. Faudrait peut être que je m'inquiète.

Dat racontage de liiiife. j'm'en fous, ça m'amuse, et ça me fait du bien. Gwahaha, je continue.

Ow, toujours dans ma formidable vie de couple, y'a eut Sia, breathe me qui m'a bien marqué. Tu m'étonnes. J'ai dormi, et fais des trucs un peu moins catholique que dormir là dessus. Faut que je la réécoute, d'ailleurs, ça fait telllement longtemps. Y'a aussi Rose de Nana, mais je me souviens pas avoir fait de pêché de chair là dessus. 

En parlant de ça! Y'a aussi eut Rammstein. Aussi classique ce groupe soit il, faudrait pas que j'oublie qu'Amour est une putain de musique.
Ow et la musique de Sum 41, avec l'AMV de Bleach que je regardais pendant que tu jouais sur mon phone. Excellente aussi. Je cherche, j'ai plus le titre. Bordel, le temps fait bien son office, aussi. pour ça que je voulais l'écrire, cet article. Par lien logique, je devrais en récupérer pas mal, des musiques. Raaa, j'ai un peu honte, j'ai longtemps écouté cette musique, même après notre rupture. Le titre veut pas revenir. Enflure.
Après 5 minutes de recherche, c'est Open Your Eyes. mais quel boulet, je l'ai sur mon ordi en plus. Du coup en cherchant, je suis retombé sur 
Stargazer. Ow Yeah. Musique emblématique de ma muscu' quotidienne que j'avais commencé pour toi.

Pour retourner aux voyages, y'a pas eut que les retours, en musique. Quand je venais aussi. J'me souviens particulièrement de "En vie" D'apocalyptica. En français, s'il vous plait. "Achevons nous, pour le plaisir" J'aime. C'est ce que je fais. Du coup je continue. Ow, et je me souviens aussi, d'une musique que je n'ai écouté qu'une fois. Le titre n'est plus clair dans ma tête. je vais chercher, je devrais retrouver. Tu avais demandé à ton père de la mettre, parce qu'elle te symbolisait, d'après lui, et que tu l'aimais beaucoup. La petite fille de la mer, je crois. Je cherche. 
Ow yeah, ça à l'air d'être ça. C'te mémoire. 

Jet de fleurs pour moi, s'il vous plait. Non? Dommage.
Erasmus, The Shadow, aussi, bien sur. J'l'avais pas écouté depuis un certain temps, avant de te revoir. Ca m'avait ramené à la chambre enfumée de Seb'. A cette chambre rouge, où je me sentais chez moi. Sensation aujourd'hui disparue. Boarf, les trucs positifs, c'est loin. Pour moi, c'est un peu une grosse blague, maintenant. *rire jaune *

Ow, ça me rappelle, quand on était pas encore ensemble. On s'était filé tellement de groupes. 18, de mémoires, que je lui avais filé. Elle m'en avait donné pas mal de nippones, que j'avais pas très bien reçu. Mais dans le tas, y'a eut celles de Yousei Teikoku, quand même. Warheit m'a marqué, jusque dans le titre, l'autre moins. Je cherche. Wei Fluggel. Excellentes, celle là. Quand tu mes les avais filé, j'avais envie de danser et de m'époumoner dessus. C'était kool. Se sentir vivant, toussa. Damn, que c'est loin. Je n'ai ressenti ça que de manière très éphémère depuis. Le plus bel espoir que j'ai eut, ces derniers temps, s'est soldé par une blessure cruelle, qui est en train de me rendre profondément égoïste. J'aurais bien besoin de te parler, je crois. Pas sur que ça soit une bonne idée, mais j'aime vivre dangereusement  *rire carnassier* 
Cela dit, faudrait que tu le veuille, et que tu le puisse. Le contraire serait dommage. Tellement dommage.
C'est que tout ça commence à me faire penser aux énormes pavés d'écrits parsemés de douleurs que seule toi a lu. En plus rigolo, quand même. 
Joie masochiste, quand même.

Poursuivons ma vie en musique, qui, décidement était plus riche que je le pensais.
Puis je décemment oublier Anathema, Inner Silence que je t'ai fais écouté plusieurs fois, et que j'adorais tellement?
Avec elle, j'avais découvert Sonic Syndicate, qui m'a moins marqué tout de même. 

Bordel. 3 pages word. Je dépasse la plupart de mes nouvelles, en racontant ma vie. Frustration.

Au fait ! Tu te souviens de Deadlock? Le groupe que j'ai tellement cherché, et que j'ai retrouvé par le plus grand des hasards, en suivant un de tes conseils? Comment j'avais adoré. Code of honor de mémoire. Je cherche le nom des autres. End Begins, aussi. Et Seal Slayers. Owai, elle je la chantais, pendant que mon père m'emmenait en moto. Gueuler ça dans le casque, sur l'autoroute, c'est le pied. En plus t'entend pas ton massacre.

Y'a aussi Nickelback. Autre domaine, on l'écoutait peu ensemble, mais je l'écoutais beaucoup en pensant à toi. If today was your last day, rockstar, Savin' me... je les connaissais toute avant de te rencontrer, mais elles ont toutes gagner une autre dimension quand je me suis lié à toi. D'ailleurs, ce lien est pas prêt de mourir, quoi que tu en penses. C'est plus de l'amour, certes, mais ça reste un lien. Owai, j'me demande si j'devrais troller Rémi avec ça. J'suis sur que ça m'éclaterait. Passons.

Y'a également Disturbed. Largement avant de te rencontrer, c'est ces musiques, avec BFMV qui m'ont dans un premier temps fait sombrer dans le métal, alors que j'étais plus rock, avec Offspring ACDC toussa. Musiques que j'adore toujours, d'ailleurs.

Y'a aussi Thirty Second to Mars, que j'écoutais bien avant mes camarades de classes. This is War vient d'Anne Saw. j'me souviens des frissons que j'avais eut en l'écoutant, sur un AMV de FF que j'avais tellement adoré. The Kill aussi est excellente. "BURY ME BURY ME" Yeah. C'était à l'époque où je filais mes musiques à Damien. Y'avait aussi FOO FIGHTERS dans le tas. Surtout The pretender, d'ailleurs.  C'est rigolo, je parle de musique, je sais même pas quoi me mettre.

Lordi, je vais me mettre du Lordi. Dédicasse à Emma qui m'a fait redécouvrir ça. We're not bad for the kids we're worse. Damn qu'est ce que j'adore cette musique. J'connaissais un peu avant Estelle, j'avais bien aimé, et depuis j'adore. Celle ci est tellement que je dégueulasse... Elle cadre bien avec mon sens de l'humour. Du moins celui que j'adopte avec la seule qui peut me supporter à en faire une nuit blanche tient. D'ailleurs, pour ce soir, je te retiens!  *sourire, plus ou moins sadico-démoniaque* 

Putain que c'est long ce truc. Et ça retrace même pas toute ma vie.  Bon, j'avais des gouts plus contestable quand j'étais petit. Je commence seulement à réavoir la même ouverture d'esprit vis à vis de la musique que quand j'avais 9 ans. J'en ai mis du temps. D'ailleurs, j'ai ré-écouté du Eminem, après notre rupture. J'aime toujours autant l'ambiance soirée. J'tiens d'ailleurs à dire que je ne me suis jamais mis de mine, malgré tous tes doutes, et ton aversion envers les soirées alcoolisées entre potes, que moi, j'adore. D'ailleurs, je me demande si c'est toujours d'actualité. 

Ow, et My Megadrive. Fin de notre histoire. Paroxysme de mon insomnie, je m'étais levé alors que tu pionçais comme une masse, il était six heures j'avais pas dormi. J'ai regardé No life et je suis tombé sur cette petite merveille, qui m'a fait trippé. Elle m'a donné l'énergie pour tenir la journée, d'ailleurs. J'avais pas le droit de tomber alors que j'étais avec toi, quand même. j'aurais su, je t'aurais supplier de me chanter une berçeuse jusqu'à ce que je pionce. Doesn't matter, now.

Megadrive, megadrive, megadrive...

Haha, ça ma rappelle cette vieille rivalité sur Soul Calibur. Qu'est ce qu'on était mauvais perdant quand même. J'arrive pas à récupérer le niveau que j'avais sur PS2 sur ma gamecube, sadly. La perte de ma télécommande n'aide pas, je 'l'avoue.
Et nos sessions Quake... Je crois que j'ai pas besoin de préciser pourquoi je pourrais jamais les oublier. 
D'ailleurs, on s'était bien éclaté sur Underworld. Le jeu était moyen, mais la difficulté, et le fait qu'on y jouait ensemble rendait le tout génial.

Puisqu'on aborde les musiques de jeu, y'a pas mal de musique que j'ai supra écouté en jouant. Celles de Joffré, que j'ai écouté à m'en rendre malade, jouant sans dormir pour oublier. La musique du Paladin, surtout, en fait. Elle me tenait éveillé. Anima Libera, que j'ai quand même écouté 15 h d'affilés, en jouant. Se concentrer pour pas pioncer, en sortant tout juste d'une insomnie. J'l'ai prolongé de 4 mois, de manière à peu près volontaire. j'commençais à avoir droit aux halu' sensoriels en cours, c'était le pied. Peut être pour ça que je rigole doucement quand on me dit d'aller me coucher. Même si je me suis toujours pas remis du traumatisme infligé à mon corps. Mais bon, suis pas dans un état psychologique qui m'aide, non plus.
J'ai beaucoup écouter de Nightcore en jouant. Peut être parce que j'ai écouté avec Antoine, au début, et qu'on est de grands partenaires de jeu, quelqu'il soit. D'ailleurs je dois encore ruiner sa copine au sprint samedi. Ca va être une boucherie. Pas de retenue, cette fois, je l'écrase.
Me reste un peu de mon esprit de compétition? Intéressant, je note.

Quelle musique ai-je bien pu oublier là dedans?
Y'a eut ma grande période Grand Corps Malade, aussi. Il racontait mes émotions. Ca me touchait beaucoup, et j'ai adoré. Tout ça à cause, ou grâce, selon le point de vue, à un duo avec Calogero. L'ombre et la lumière, de mémoire. A l'époque où j'étais encore ami avec Rem's j'écoutais ça, en jouant à Run. Que j'ai fini avant lui, mwahaha. Domination absolue. Me rappelle les matchs sur Star Wars. Auquel il avait l'avantage, je dois le reconnaitre. Avoir le jeu, aide, aussi. Mais j'ai toujours appris vite, j'étais assez proche de son niveau en mode assaut. Bref, je digresse violemment du sujet de base là. En même temps, j'en ai cité pas mal, de musiques marquantes.

Y'a eut Paramore. Hawai, Paramore, m'a suivit jusqu'à notre rupture. Muse, confidente et amie. Ce groupe était un putain de soutien pour moi pendant que j'y pense. Et maintenant que je dis ça, je vois à quelle point je suis moins près de la musique qu'avant, ce qui est fort triste. Ow, j'ai failli zappé Evanescence, qui rentre un peu dans toutes les catégories. Comme Nightwish.

Pour finir, je citerai juste les inconnus, qui m'ont bien fait marré, et bien aidé, un certain dimanche, 04 Novembre, si ma mémoire flanche pas. 
"C'est toi que je t'aimeeee, vachement plus que beaucoup! '
[Edit, c'était le 6, et un samedi. Une étoile est passée par là pour me corriger.]

Je cite surtout les musiques que j'ai écouté quand on était en couple, c'est vrai.
D'un autre côté, une masse conséquente de bons souvenirs vient de cette période. C'est elle qui a fait ce que je suis maintenant. 
Ca, et sa disparition, ont largement influencés ce que je suis. Y'a pas mal de musique que je n'ai pas cité.
Genre Numb, River Flows In you. Puis après toi, mon rapprochement avec Skillet, que je dois à Anne Saw.
Damn, je pourrais en faire un autre quasiment aussi gros pour elle. 
Sauf que c'est encore trop récent pour que j'en ai besoin.

PS: C'était super long à écrire, mais satisfaisant, en fait.


Mercredi 5 juin 2013 à 23:12

Paroles lyriques de textes qui ne sont pas de moi.
Sentiments éthérés, sourires.
J'ai pas besoin de musique pour me souvenir.
Trop d'images me reviennent.
Je veux m'y mêler et arrêter d'en produire de nouvelles.

Certains constats font trop mal, et on retarde, comme des cons, l'inexorable moment où la vérité brise la fragile illusion que l'on a entretenu.
Ne t'en fais pas, je continuerai à être un clown.
Un pâle clown, aux couleurs froides.
Le sourire mort, les yeux éteints.

Bordel, où est passé cette teinte, que j'aimais tant,dans mon regard?
Il est devenu livide, froid. Plus ce gris métallisé. Plus jamais.
Alors je me souviens. Encore et toujours.
Je suis un clown.
Pale et éteint.

Mercredi 29 mai 2013 à 16:41

 Musique. Douce. Assis sur l’appui de fenêtre, les pieds contre le mur, je contemple le ciel. Rares nuages sur fond bleu. Serein. J’étais. Les derniers rayons d’un soleil couchant, teintant d’ocre les paresseuses masses de cotons dans le ciel se reflétaient sur mon lecteur de musique. L’air frais soulevait doucement une mèche, qui s’était déposé devant mes yeux.

Une photo mériterait presque d’immortaliser l’instant. Mais je déteste, être sur une photo. Depuis aussi longtemps que je sais que ça existe. Et j’ai très vite compris. J’ai très vite compris pleins de choses, d’ailleurs. Certains systèmes. Certains engrenages. De mécaniques souvent plus complexes qu’elles n’y paraissaient. Des choses aussi simples que manger ou boire. Lire et écrire. Parler.
 
Chacune de ces actions, simples en apparences, se sont complexifiées. Pour donner le mot vivre. Et là je vivais. Impression d’être. Juste être. Ca faisait une quinzaine de minutes que j’étais immobile, à attendre. Mes membres commençaient à se raidir, certains frissons me parcouraient. Soleil printanier. Mais je restais là, les yeux dans le vague. Pictural, comme situation, je vous dis.
La musique changea. Innocence. Petit sourire. Vibrations dans la poche. Il était temps.
 
« Voilà. » 
 
Simple, efficace. En connaissant l’expéditeur, je pouvais aisément rajouter élégant, distingué, voir adorable. Tout ça dans ce voilà. Un mot à la simplicité absolue, mais d’une force impressionnante. Je regardais l’écran, un petit sourire aux lèvres. Fallait-il que je bouge ? Ou devais je rester, là, contemplatif ? La question n’en était pas réellement une. 
 
Soupir, mise en branle de mes muscles, et retour au réel. Le vent souleva ma mèche une dernière fois, parcourra ma peau, qui frissonna doucement. La fenêtre claqua derrière moi, et je mis ma chemise à l’arrache. Sortie précipitée, après tellement de temps à glander, on ne se refait pas.
 
« J’arrive. »
 
Message envoyé en courant dans les escaliers, comme toujours.
Chaussures mises sans les mains, en regardant l’heure. Comme toujours.
Expirations. Inspiration. Sourire. Ouverture de la porte.
Elle était magnifique, comme toujours.
 
« Bonjour.
-Salut. »
 
Un rayon de soleil se posa sur elle, découpa sa silhouette gracile dans l’embrasure de ma porte. Sous une mèche brune, son regard intense me fixait, un sourire discret, mais adorable à la bouche.
Je me sentais fondre, et ma bouche s’élargir, se fendre d’un sourire.
Fini les questions.
 
« Il fait chaud.
-Ose te plaindre. Pour une fois qu’il ne pleut pas et qu’on est ensemble. On devrait sortir le champagne. J’y ai pensé mais… Suis un prolétaire moi. »
 
Elle éclata de rire. Je sortis avec elle, sous le soleil, qui semblait nous baigner de lumière en cette fin d’après-midi. Elle avait mis du temps à venir. Mais je lui pardonnais, mon regard se noyant dans le sien, mon cœur perdit enfin de sa constance. Mon cerveau commençait à s’embrumer. C’est tellement beau de ressentir avec son âme. De ressentir tout court.
 
Remise nerveuse d’une mèche pourtant bel et bien à sa place, vanne stupide, et balade musicale. Une certaine forme d’habitude s’était créée, au fil de nos rencontres. Un rituel, que l’on respectait plus ou moins selon l’humeur. La balade n’était qu’un prétexte. En tout cas, c’était le cas pour moi. 
D’un simple changement d’intonation de sa voix, je savais si on devait s’arrêter, continuer, et où aller. Alors on y allait. Je parlais beaucoup. Je disais beaucoup de bêtises, qu’elle marquait de rires ou de sourires. Parce que j’étais là pour ça. Sorte de cercle vicieux, ma récompense me donnait l’énergie pour en avoir d’autres. Plus, encore et toujours.
 
Toujours d’un point de vue pictural, ça valait le coup. Les allées s’illuminaient au fur et à mesure de notre venue, la demoiselle enchantant tout ce qu’elle approchait, le soleil suffisamment doux pour sublimer cela sans être agressif rendait le tout encore plus charmant. Adolescents bloqués dans l’enfance, on se chamaillait, déconnait, riait.
 
De beaux reflets dans les yeux, dans les cheveux.
Une odeur délicate et enivrante s’étalait dans l’air.
Et son rire cristallin, qui contrastait avec ma voix aux inflexions souvent ridicules que j’adoptais.
 
Puis il fallut s’asseoir. Mon cerveau avait arrêté de réfléchir depuis un moment, et mon cœur jugeait tout à fait logique de rater des battements. Tu semblais sereine, rayonnait, comme à ton habitude. Tu étais belle comme à ton habitude. Tout semblait habituel. Et c’est justement parce que c’était une habitude que c’était aussi génial.
 
On finit, installés dans l’herbe, au soleil. Pour une fois, on n’avait pas besoin de s’abriter sous la pluie. J’étais collée à elle. On regardait ce foutu étang, toujours aussi mal entretenu, alors que plusieurs années étaient passées par là. D’un autre côté, le fait que même ça n’avait pas évolué donnait un étrange sentiment de stabilité, de sécurité.
 
Le temps avait filé, et on était à un stade où l’on pouvait évoquer les premiers moments passés ensemble comme s’ils avaient eu lieu une éternité avant celle-ci. Le soleil caressait doucement notre peau, l’herbe chatouillait doucement nos mains. Mon portable glissait de musiques en musiques. J’avais viré les déprimantes pour l’occasions. 
 
Alors on parlait de jeux vidéo, du temps, des gens, de nos souvenirs, de notre année scolaire, et de notre devenir.
 
« Et après cette année ?
-J’en sais rien. Et très sincèrement, je m’en fous. Et toi ?
-La même. Va falloir se bouger, si on la veut, notre cave. »
 
Private joke.
Eclats de rire.
 
Des fois, mon cerveau se réactivait, et je le forçais à disparaitre. Nul besoin de réfléchir ni de penser. Là, je devais vivre. Perceptions de toute sorte, l’hormone du bonheur coulait à flots dans mon sang. Le soleil baissait à l’horizon. On n’avait pas bougé. L’astre teintait d’un doré au gout du rêve l’eau.
 
Je me suis tournait vers la demoiselle, dévora son visage des yeux.
 
« Je te l’avais dit.
-De ?
-Que je te l’offrirai, ce coucher de soleil.
-C’est pas la mer.
-Mais tu es déjà sublime. »
 
Petit sourire en coin, silence de sa part. Mon regard se reporta sur l’eau qui scintillait doucement. Ma tête tomba sur son épaule, les yeux mi-clos. Elle ne me chassa pas. La journée touchait à sa fin, le rêve allait se finir. Il fut temps de se dire au revoir. Toutes les cellules de mon corps s’y opposaient fermement, mais le choix n’était pas vraiment un luxe qu’on m’accordait.
 
Je redevins cynique, froid, et le reste.
Jusqu’à la fois d’après.
 
« Tu veux avoir mon corps, ou mon argent ?
-Quitte à choisir, je prendrai ton cœur.
-Ca, tu l’as déjà. Pour toujours. »
 

Mercredi 29 mai 2013 à 0:44

 J'ai pas la chute dans mon histoire, la suite veut pas venir. Rageant. Je le finirai, ce texte.
J'ai perdu en endurance, c'est flagrant. Je suis déjà totalement crevé à cette heure ci, alors que j'ai dormi mes quatre heures indispensables cette nuit. Vais peut être devoir basculé sur un rythme normal. J'accueillerai avec plaisir un retour de mon appétit. Ca serait plutôt cool. Avec lui, celui de l'inspiration.
Sorties annulées, fail sur pokémon, envies de jouer en chute libre.
Ouais, ces vacances, il me les faut.
Et ça, c'est en oubliant ce qu'il se passe dans ma tête. Ha ha ha.
"Well well well... Welcome, to my lair !"

Lundi 27 mai 2013 à 20:21

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